À l'aube du vote décisif du Syndicat de l'enseignement de la Haute-Yamaskas, les possibilités légales s'amenuisent pour la Fédération autonome de l'enseignement (FAE).

Dans une entrevue sur les ondes de LCN, notre chef du groupe de droit du travail et de l'emploi, Nancy Boyle, s'est entretenue avec Mario Dumont à propos des avenues possibles dans le cas où le 9e syndicat de la FAE rejetterait l'entente de principe du gouvernement provincial.

« C'est vraiment une tendance dans les milieux de travail, en ce moment, que les offres, même celles recommandées par les syndicats, soient refusées par les membres. », a déclaré Nancy Boyle.

Au Québec, il existe une obligation de négocier de bonne foi de sorte qu'en cas de rejet de l'entente de principe, les parties devront retourner à la table des négociations. Lors de l'entrevue, Nancy Boyle explique toutefois que d'expérience, dans de tels cas, les syndicats vont généralement y gagner très peu de choses.

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